Coordinateurs, IPA, médiateurs santé, assistants médicaux… les métiers gravitant autour des professionnels de l’exercice coordonné sont de plus en plus nombreux. Certains sont précisément définis par la loi, d’autres non : il est parfois difficile de s’y retrouver !

Pourtant, vous entourer de certains de ces professionnels pourrait bien vous permettre d’amener vos projets encore plus loin. D’où l’intérêt de les découvrir…

Coordinateur de MSP

Le métier de coordinateur en Maison de Santé prend son essor depuis déjà plusieurs années. 
Professionnel de santé ou non, le coordinateur peut remplir des tâches diverses allant de la planification de réunions au suivi d’actions de santé publique, en passant par la gestion comptable de la structure.

Assistant médical

Le déploiement du métier d’assistant médical était l’une des mesures phares du Plan Ma Santé 2022. 

L’ambition ? Pallier les difficultés d’accès aux soins vécues dans de nombreux territoires en permettant aux médecins de libérer du temps médical. 

Les assistants médicaux pourront prendre à leur charge des tâches à la fois administratives, organisationnelles, mais aussi en pré-consultation (prises de constantes, etc.).

Infirmier de pratique avancée

La pratique avancée apparaît comme un moyen d’accompagner l’évolution des besoins de santé, notamment liés aux maladies chroniques et au vieillissement.

Au sein d’une équipe, en accord avec les médecins, l’IPA mène des actions de prévention et de dépistage, assure une surveillance clinique, adapte ou prescrit des traitements ou examens, pour une meilleure prise en charge des patients atteints de maladies chroniques.

Médiateur en Santé

La médiation en santé vise à faciliter la circulation d’informations, à créer du lien entre professionnels de santé, acteurs médicosociaux et sociaux, institutions et habitants, à remonter les problématiques rencontrées sur le territoire en matière de santé et à recueillir les besoins.

Infirmier Asalée

Le dispositif Asalée met en place un travail pluriprofessionnel dans l’intérêt du patient et de la fluidité du parcours de soins, en particulier dans le cadre du suivi des maladies chroniques dans lesquelles le mode de vie de la personne atteinte peut influencer l’efficacité du traitement. Le médecin conserve son rôle de prescripteur et confie le suivi “éducatif” du patient à l’infirmière.